mercredi 28 octobre 2009

L'occident,
la burqa,
l'assassinat d'une musulmane en Allemagne,
le renvoi des réfugiés afghans



Il n'ya pas un jour qui passe sans que l'on sente ou entende que la place du monde musulman en Occident régresse de jour en jour. C'est un véritable travail de fourmis. Chaque jour qui passe stigmatise davantage les relations entre les deux mondes. A entendre une Dame Allemande parler "il ne faut pas que cela ( l'Assassinat d'une musulmane par un extrémiste Allemand dans un tribunal ) constitue une raison de considérer que le pays recèle une force "xénophobe"..." Par ailleurs, un autre officiel allemand, interrogé par un journaliste, considère que cet assassinat ne doit pas constituer un procès intenté par les Musulmans contre la justice allemande et occidentale. Les Allemands estiment que leur pays n'est pas hostile aux étrangers. Cela, on l'a compris, puisqu'il a passé des années à chercher des moyens de se faire pardonner les atrocités de la 2éme Guerre Mondiale.L 'effort perpétuel continue dans ce sens. Si les sentiments de xénophobie sont à déplorer, on ne saurait pardonner les excés qui mènent aux effusions de sang. Cela reste impardonnable et...inoubliable, jusquà ce que justice soit faite. Damn it.


L'été passé le parti conservateur Danois a renoncé à interdire la Burqa. En Egypte, il y'a quelque temps, c'est un Cheikh Azhariste, du haut de ses 70 ans ou plus, qui s'en prend à une jeune étudiante au sein de l'université contre le port de ce vêtement .L'incident va dégénerer en interdiction formelle de la burqa dans les universités. Les musulmans, même n'ayant aucune notion sur les contraintes religieuses sont scandalisés. A la grande satisfaction du courant laique, un grand nombre de femmes intellectuelles vont quitter leurs études ou leur travail et devoir choisir entre leur fonctions ou leur confessions. Quand on sait qu'il s'agit du résultat de la collusion d'opinions entre des personnalités d'Al Azhar et le courant laique. On ne peut que passer à autre chose et très vite.

On avance l'argument du Coran: la burqa, le Coran ne l'a pas imposé...De toute façon si le Coran impose, y'a problème, et s'il ne le fait pas , y'a problème...alors qu'en réalité, il s'agit de liberté , c'est tout.


En France, on interdit la burqa comme on a interdit aux Lycéens de porter ce qu'ils veulent " deux extrémismes", Dira Alain, un père de famille,(http://www.leparisien.fr/abo-essonne/lea-il-faut-arreter-je-suis-fatiguee-18-09-2009-642639.php). Oui, il s'agit d' interdictions extremistes qui n'ont pas d'explications logiques dans un pays ou la liberté est sacrée. Comment peut-on tolèrer que l'on mesure la longueur d'un habit, ou les autres accessoires appelés "signes ostentatoires"? Une commission a été chargée d'enquêter la dessus, et depuis le débat tourne en rond.Que des voix en faveur des libertés se soient tues, c'est decevant , tout juste... Mais là ou l'on la libérté dans son sens large prend un coup , c'est quand des opinions se disant libératrices. prennent le mauvais virage.. La Présidente de l'association de NI...Ni , estime qu'il faut continuer à débattre de cette question qui concerne " la dégradation des femmes...la France doit agir pour l'intérêt des femmes, et surtout en Iran . ..car la loi de 2004 n'est pas suffisante". Oui, vous voyez le truc, il faut enfoncer le clou.En Iran, justement.
En réalité, c'est à partir du sol français, que des réfugiés Afghans, fuyant la guerre dans leur pays, et tentant par tous les moyens de voler vers d'autres contrées, ont été forcés de rentrer chez eux, ou ils n'ont absolument rien. Car ils ont tout dépensé pour voyager.



En Afghanistan, les troupes occidentales continuent à affluer , toutes ces légions déshonorent leur origine malgré leur voeux pieux d' anéantir les Talibans. Depuis 2000, cette mission devrait être déjà terminée. Ce qui prouve que ces gueux de Talibans font partie du pauvre peuple Afghan qui tente de survivre dans un pays convoité et que le Gouvernement qui représente le pays demeure au service des forces d'occupation d'autant qu'il vit en décalage avec les attentes de son peuple .. Avec frocs et burqas , les Talibans auraient provoqué le 11- septembre. Ce gros mensonge qui continue à servir de pretexte à l'expansion et à la convoitise couardes. L'année 2009 va enregistrer , à sa fin une attaque ( regrettable), laquelle a ciblé une représentation de l'ONU. Cette dernière semble tabler encore sur les scrutins avant de mettre fin à la colonisation. L'ONU vient ,et encore une fois de faire les frais de sa crudilité face aux hégémonies des pays de l'Occident. Les peuples en détresse attendent la justice et frappent sans discernement lorsque leurs jours deviennent obscurs de larmes et de sang.

samedi 24 octobre 2009

Ne reprimez pas des émeutes justes, pour les uns

Pour les autres, ne profitez pas de la détresse des gens!


Cher Monsieur Zerhouni, ne réprimez pas ce qui est juste, même si ça sent le " complot pourri", car si les uns profitent de la détresse des pauvres et frustrés, détresse il y'a...comme semble le confirmer l'émeute dans sa violence et sa spontanéité. Ce n'est pas du théâtre grandeur nature. En Algérie, on laisse pourrir les choses, puis on profite de la situation pour détourner le fleuve de la colère. Mais, les gens ont compris, alors ils font ce qui est nécessaire. Le Peuple ne se sent pas en sécurité: contre la mal, la pauvreté et tous les maux sociaux. Il s'est senti blessé à maintes occasions, en raison de la peur, de la misère et des assassinats contre tous les symboles de la société. Les blessures enfouies ne veulent pas dire grand chose. Car, à chaque problème, le film des événements se déclenche. Au delà des couches sociales intégrées qui étouffent dans les bidonvilles, et les studios qui datent d'avant 1962, il y'a des laissés pour compte qui ne travaillent pas, et ne rêvent même pas d' un logement.




Cet article a été publié sur /http://www.afrik.com/algerie

Au dialogue social, semble se substituer le langage des barricades et des cocktails Molotov en Algérie. Depuis quelques temps, les émeutes y sont récurrentes. Logements, gaz, électricité, les raisons de ces manifestations de colère sporadiques et répétitives sont liées aux conditions de vie des Algériens. Dernière émeute en date : le quartier de Diar et Echems, sur les hauteurs d’Alger, s’est embrasé, lundi et mardi, à cause d’un problème d’attribution de logements.
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Mercredi 21 octobre 2009, par Djamel Belayachi

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Le quartier populaire de Diar Echems, sur les hauteurs d’Alger, a été le théâtre de violents affrontements entre les forces de l’ordre et des centaines de jeunes en colère, lundi et mardi. Les violences ont éclaté après l’intervention de policiers venus évacuer des baraques de fortune sur un terrain de football adjacent à la cité. Crise perpétuelle du logement. La presse algérienne recense une cinquantaine de blessés côté police anti-émeute et une quarantaine d’interpellés chez les émeutiers. Les affrontements de Diar Echems ne constituent pas un cas isolé. L’émeute est devenue un véritable phénomène de société en Algérie, où il ne se passe pas une semaine sans que des troubles n’éclatent dans une ville ou un village. Dimanche dernier, les habitants de Rouissat, près Ouargla (800 km au sud d’Alger), ont barré la route principale de leur commune à l’aide de pierres et de pneus brûlés pour attirer l’attention sur des nuisances causées par des travaux d’assainissement. A Skikda (500 km l’est d’Alger), des habitants des localités de Beni Bechir et Ramdane Djamel avaient bloqué des routes, le 26 septembre dernier, pour dénoncer des coupures récurrentes de l’électricité. Même scénario à Annaba, suites à des inondations, à Mila pour des problèmes d’approvisionnement en gaz, en Kabylie pour l’alimentation en eau potable.
C’est, selon plusieurs analystes, à cause d’un déficit d’associations et de syndicats autonomes, en l’absence d’une réelle société civile et d’une opposition crédible, que les Algériens ont souvent recours au langage des barricades et des pierres. « En refusant (…) l’institutionnalisation du conflit social, l’expression autonome des revendications et la représentation politique de la société selon les intérêts en conflit, le régime politique génère l’émeute, l’expression extrême et violente de la prise de parole », analyse le politologue Mohamed Hachemaoui dans les colonnes d’El Watan. Les émeutes sont selon lui « l’œuvre rageuse d’une jeunesse désemparée, lourdement frappée par le chômage ».
« Les réseaux mafieux » et la question du logement
Evoquant les problèmes de logement, souvent à l’origine des émeutes en Algérie, Noureddine Hakiki, sociologue, professeur à l’université d’Alger, estime que cette forme de contestation sociale n’est pas uniquement liée à des conditions de vie difficiles. L’émeute est selon lui, dans bien des cas, le fait de « puissants réseaux mafieux qui utilisent des populations réellement dans la besoin pour verser dans le trafic de logements ». « Si on ne peut pas nier qu’il y a crise du logement, on ne peut pas non plus nier le fait que l’Etat algérien a construit beaucoup de logements ces dernières années en comparaison au Maroc ou à l’Egypte », ajoute-il. « Mais il est difficile d’identifier ceux qui méritent et ceux qui ne méritent pas, quand vous avez une puissante mafia qui sait comment constituer des dossiers et contourner les restrictions de la loi ».
L’Etat s’enorgueillit d’avoir construit plus d’un million de logements les dix derrière années. Il en annonce autant d’ici 2014 et prévoit d’investir l’équivalent de 10 milliards d’euros pour améliorer les conditions de vie des Algériens. Mais en « l’absence d’une véritable démocratie, avec des intermédiaires entre la population et les pouvoirs publics, comme les partis d’opposition, les associations qui travaillent sur le terrain, et des autorités qui communiquent, l’émeute comme phénomène de « contre-pouvoir a encore de beaux jours devant elle », craint Noureddine Hakiki.
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Pour les autres, ne profitez pas de la détresse des gens!

vendredi 9 octobre 2009

Atermondialisme: jeter le froc aux orties?

Consulter le site




L'article mentionne un lien datant de Juin 2008.

(http://sarkozyisraeletlesjuifs.blogspot.com/
http://www.legrandsoir.info/De-la-contestation-mondiale-bobo-docile-et-du-souverainisme-de.html)


Après 2000, le mouvement alter-mondialiste a fait un travail de longue haleine.S'est-il essouflé ou a-t-il quitté sa voie?

Ses premiers acteurs , parmi eux des journalistes, ont jeté les bases d'un véritable mouvement de justice et de valeurs nobles.Cependant, certains "joueurs" ont "fait" du politique un enjeu primordial.Or, ce qui demeure d'actualité et loin des enjeux politiques, sont les droits de l'homme...repère flou, mais repère tout de même!Plus flou encore, est l " éternelle polémique: capitalisme Vs socialisme" avec son sillage de révolutions larvées.
La dernière en date , a fait dans le sens inverse et subi un échec. L'exemple encourageant est en Amérique Latine? Certes.
Doit-on penser à l'après- altermondialisme? Ou s'inquiéter sérieusment?


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Au Moyent- Orient, l'étau se reserre autour de ceux qui veulent acquérir des sites scientifiques pour la recherche médicale nucléaire..la menace des sanctions économiques est brandie contre certains...les autres peuvent vivre tranquilles...les Arabes de Jérusalem résisteront seuls pour défendre une ville Sainte et chère au monde entier.Le monde prends note que des sites historiques sont menacés de disparition.

samedi 3 octobre 2009

Help at half rods

Fuel was being rationed amid a power outage, water and food were in short supply and villagers dug out the dead with their bare hands.
As the scale of the destruction became clearer, Vice President Jusuf Kalla told reporters in the capital, Jakarta, that the recovery operation would cost at least $400 million.
Military and commercial planes shuttled in tons of emergency supplies, although rural areas remained cut off due to landslides that reportedly crushed several villages and killed nearly 300 people.
While the damage was most severe around Padang, an Associated Press reporter saw virtually no remaining structures in the rural, hilly district of Pariaman, a community of about 370,000 about 50 miles to the north.
Landslides had wiped away roads and there was no sign of outside help.
In Padang, President Susilo Bambang Yudhoyono told a crowd of people whose relatives are missing to "please be patient," assuring them the government was doing everything in its power to save lives.
Millions of dollars in aid and financial assistance came from Australia, Britain, China, Germany, Japan, the European Union, Malaysia, the Netherlands, Singapore, South Korea, Switzerland, Denmark and the United States, Indonesian officials said.
Wednesday's quake originated on the same fault line that spawned the 2004 Asian tsunami that killed 230,000 people in a dozen nations.