“IPS asked al-Adassi to define the effects of Israel’s policies towards Gaza from the health workers’ perspective. “Palestinians are dehumanized. In the past, we used to have a concept of freedom, having a state, fighting for our rights. Now, it’s shifted to providing for our families and surviving. We live in a jungle — and the concept of living in a jungle is to try and adapt to survive. All of us are frustrated and suppressed. This is not healthy at all, even for Israel itself. At a certain point, it will explode. And who will take responsibility? Those with the keys to the occupation.”
Circumstances in Gaza are significantly under-covered by the US media. Other than NPR’s All Things Considered, May 16, 2006, and the Washington Times, January 22, 2000, no mention of the health care crisis in Gaza has occurred in US corporate media over the past two and half years, since Hamas democratically won the Palestinian general election in January of 2006. Americans know very little about this de facto prison camp of one and half million people in the Gaza strip. »
Habitués à ce genre de témoignages, nous passons rapidement à d’autres choses en souhaitant que les choses s’arrangent d’elles mêmes, et que nul besoin de faire l’apologie des armes, nous chanterons la paix sœur de la justice à venir, et tant mieux pour tout le monde. Tout les monde se prépare pour les élections, un peu partout en Afrique et dans le monde. 9a fait organisé et équilibré et un champ de confiance règne. Bien que chez les Israéliens, les extrémistes ont repris du poil de la bête, et le pouvoir est aux ultras. Les enfants du ciel manifestent leur joie en tirant dans tous les sens du côté des frontières Egyptiennes jouxtant Gaza. Ces descendants des Pharaons n’arrivent plus à gérer deux Voisins aussi intéressants les uns que les autres. « Nous sommes gênés, entre ces deux voisins, que pouvons nous faire ? » ( Un diplomate Egyptien et le journaliste de répondre presque sans voix : voisins dites-vous ? les deux). Mais la première dame a quand même réagi et a aidé là l’ouverture de Rafah, un geste que Dieu lui rendra. Ce qui a mis en colère les enfants du ciel qui l’ont quand même manifesté en tirant juste à côté. Je comprends la position des Egyptiens et je les exhorte à plus de courage, ces salopards ne vont pas s’éterniser, et l’aube est proche malgré les intimidations, et pour cause , ça creuse, et creusent les produits chimiques et les fouilles sous notre Aqsa, comme des termites, les savants du ciel piquent sous le sol de l’esplanade, ils recherchent les traces de leurs ancêtres, « quel self- confidence ! », s’il est sur que vous êtes les enfants uniques du patelin, pourquoi fouiller dans le sol des musulmans . Je me rappelle les propos d’ une figure historique : « J »ai fouillé dans les tombes, j’ai fouillé partout, et je n’ai pas trouvé les traces de cette nation que vous appelez … ». Occupés à préparer les élections les , dirigeants Arabes, ne semblent pas prendre conscience de la perte à venir. Perdre la cité, voir ses habitants Arabes dispersés a l’intérieur ou à l’extérieur de la Palestine, c’est effacer tous les acquis gagnés grâce aux sacrifices consentis, ne serait-ce que la récente guerre contre Gaza..et Jenin, et bien d ‘autres, que beaucoup ont du mal à se rappeler sans sentir l’amertume.
Cette nation y est depuis 14 siècles, que pouvez vous contre une nation qui dure depuis 14 siècles ? et même plus. Nous ne sommes pas les Nazis que vous cherchez à punir, mais une civilisation et une histoire, nous n’avons pas soumis les hommes à toutes sortes d’expériences, et la terre est pleine des tombeaux et de sépultures de nos ancêtres ; Moise et Jésus et Mahomet en ont témoigné, et avant de partir et légué à nos ennemis la malédiction comme ils ont légué aux justes de toutes les confessions la sagesse et la bonne volonté. Et sur chaque piste qui mène vers Al Aqsa , il y’a des traces d’Arabes. Alors ramassez vos pioches et priez pour vos pauvres âmes.
vendredi 27 février 2009
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Le bien fondé est bien venu.